Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.
En savoir plusÀ l’été 1942, aux environs de New York, dans une villa en bord de mer, Saint-Exupéry écrit Le Petit Prince, aidé par sa femme, la volcanique Consuelo et par l’amant de celle-ci, le philosophe suisse Denis de Rougemont.
En savoir plusIMPORTANTE ICONOGRAPHIE EN COULEUR !
Une première partie remet en contexte les principaux monuments qu’il se prépare à voir, et rappelle brièvement les chefs-d’œuvres qui leur sont contemporains dans le domaine des arts dits mineurs (Art du laiton, orfèvrerie, travail de l’ivoire, miniature). Une deuxième partie regroupe toute une série d’informations pratiques concernant essentiellement l’accès aux églises évoquées ou non dans le texte (sites web, personnes de contact avec n° de téléphone et mail…), et les musées.
En savoir plusOn y évalue le prix à payer pour tenter d’infléchir le destin, que ce soit dans une luxueuse résidence de bord de mer en Espagne, le square Notre-Dame de l’Île de la Cité à Paris, ou sur la terrasse d’une villa huppée, dans le sud de la France.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Homme d’argent et de pouvoir,
David fut de toutes les révolutions,
même les plus radicales !
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.