Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Nous sommes le 17 juin 1929, les jours heureux sont les prémices d’une lutte qui débute. Il est 11 heures, et c’est l’Heure H de mon histoire.
En savoir plusEssayons de retrouver ces richesses perdues devant quelques œuvres qui auront, l’une après l’autre, hanté les coulisses du travail de l’auteur. Il les présente, dans leur diversité, selon l’ordre où il les a écrites. « Écrites », puisqu’il échoit à l’esthéticien de dire pour autrui ce qu’il a vu et ressenti, à sa propre échelle. C’est un réel bonheur que de s’arrêter avec Pierre Somville sur ces images…
En savoir plusDu 1er janvier au 31 décembre, le présent almanach – mémoire de l’avenir ? – est à lire en continu, les dates formant les blocs de réalité d’un escalier à gravir marche après marche. Il n’y a pas ici de tromperies liées à la fiction laquelle reste dépassée par la réalité. Tout est réel ici. L’imaginaire peut attendre.
Il y sera fait moins de place aux faits et gestes politiques et militaires qu’aux nombreux témoignages d’écrivains, de peintres, de musiciens, de cinéastes, de poètes, de savants et de philosophes tout au long de l’année. Cet almanach se lit comme un roman…
En savoir plusNous sommes le 28 novembre 1994, le long des murs gris d'une prison résonnent les pas des gardiens qui accourent auprès du corps inerte de l'un des pires tueurs en série de l'histoire des USA. Il est 8h10 du matin, et c'est l'heure H de mon histoire.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Homme d’argent et de pouvoir,
David fut de toutes les révolutions,
même les plus radicales !
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.