Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Nous sommes le 4 décembre 1926, le Surrey se réveille de sa torpeur nocturne dans le fracas. Il est 7h50, et c’est l’Heure H de mon histoire.
En savoir plusCet ouvrage inspirera largement Albert Camus, tant pour la forme que pour le contenu, pour la rédaction de son roman La peste.
En savoir plusL’auteur de cet essai tente de circonscrire l’aventure philosophique de la « quête de la vérité », en s’inspirant des recherches les plus récentes de l’épistémologie et de la logique, essayant de trouver dans la praxis des pierres d’achoppement pour un discours au moins tendanciellement vrai.
En savoir plusUn jeune homme et une femme sortent d’une maison par la porte-fenêtre donnant sur une cour pavée, qui elle-même donne sur un jardin qui se fond dans l’obscurité.
C’est le soir, presque la nuit.
Venus de l’intérieur de la maison, des bruits de verres, des voix, des rires. Il s’agit manifestement d’une soirée.
Après avoir laissé passer La Femme, Le Jeune Homme referme la porte-fenêtre derrière lui, et le brouhaha en provenance de l’intérieur se fait moins fort. Il tient une bouteille de vin sous le bras, et deux verres dans la main…
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »
À travers l’art et l’histoire, La vie et la mort selon Bruegel interroge également notre conception contemporaine de l’existence.